• Ni Pauvre Ni Soumis solidaire de la journée d'action du 29 janvier

    Le collectif Ni Pauvre Ni Soumis est solidaire de la journée d’actions du 29 janvier prochain organisée pour défendre le pouvoir d’achat et la protection sociale et lutter contre les inégalités.

     

    918215696.jpgPar sa solidarité avec la journée de mobilisation du 29 janvier, le collectif Ni pauvre, ni soumis, dont les revendications sont complémentaires, affirme sa volonté de voir les personnes en situation de handicap et de maladie invalidante reconnues comme des citoyens à part entière dans le cadre de ce mouvement social inter organisationnel !

     

    Et le collectif Ni pauvre, ni soumis donne rendez-vous fin mars pour une nouvelle action marquant la date anniversaire de la manifestation historique du 29 mars 2008 !

     

    Dans l’intervalle, tous les citoyens solidaires sont invités à participer au mur de visages de la solidarité :

    http://www.murdimages.nipauvrenisoumis.org/

     

    Pour télécharger le communiqué de presse, cliquez ici.

  • Nouveau service à la délégation: une permanence juridique

    1109002987.jpgA partir du mois de février 2009, la délégation propose aux adhérents les services d’une avocate compétente dans le droit du handicap.

    Ainsi, notre avocat tiendra des permanences dans nos locaux et pourra vous conseiller dans différents domaines tels que le droit à la compensation, à l’emploi, à la scolarité et à l’accessibilité.

    Pour bénéficier de ce nouveau service il faudra prendre rendez-vous en passant par le secrétariat de l’APF.

    L'avocat vous recevra sur rendez-vous tous les premiers vendredi du mois entre 14h et 18h à compter du 6 février 2009.

  • Nouveauté : la Lettre d'opinion APF

    Nous vous informons d’une nouvelle initiative nationale permettant de mieux partager nos réflexions par la création d’une lettre d’opinion APF. Cette nouvelle démarche, existante dans de nombreuses entreprises, associations, fondations…, est le fruit d’un constat : une écoute plus grande est apportée aux acteurs de la société civile qui replacent leurs propres intérêts dans un cadre d’intérêt général.

    L’objectif est triple :

    • Avoir une démarche d’intérêt général permettant de mieux faire comprendre nos propres préoccupations.
    • Faire de l’APF un relais d’opinion dans la société française.
    • Développer un réseau transversal pour l’APF : au-delà des parlementaires spécialistes du handicap, c’est-à-dire des politiques influents proches du président de la République, des valeurs montantes, la génération 2012, les membres de la société civile influents…

    Le contenu de cette lettre d’opinion est simple : le recto de la lettre, rédigé sous forme d’édito ou de tribune, est l’avis de l’APF sur un enjeu de société, et lance un débat autour de pistes de réflexions. Le verso est consacré au traitement de sujets en lien « plus direct » avec l’APF, ses actions, ses revendications.

    Pour télécharger la Lettre d'opinion APF n°1 "L’Etat français a-t-il peur de ses associations ?", cliquez ici.

    Pour télécharger la Lettre d'opinion APF n°2 "Promouvoir la diversité permet-il vraiment de combattre les inégalités sociales ?", cliquez ici.

  • Baccalauréat 2009 : les candidats en situation de handicap privés de déjeuner le jour des épreuves et déjà en échec ?

    1698383910.jpgAlors que le calendrier des épreuves du baccalauréat pour 2009 vient d’être publié au Bulletin Officiel de l’Education Nationale, l’APF s’indigne du traitement réservé aux élèves en situation de handicap. En effet, pour satisfaire la « politique de reconquête du mois de juin », les épreuves se dérouleront cette année encore sur 5 jours. Cette politique ne tient pas compte des élèves en situation de handicap car ceux-ci disposent d’un temps supplémentaire pour leurs examens. Un temps supplémentaire qui sera pris sur leur temps de pause-déjeuner du fait de ce calendrier serré contrairement à ce qu’avait plaidé l’APF !

    Le Ministère souhaite-t-il mettre ces élèves en situation d’échec ?

    Pour lire la suite du communiqué de presse, cliquez ici.

  • "L'impossibilité technique avérée" : une notion subjective

    La loi du 11 février 2005 prévoit la mise en accessibilité des établissements recevant du public et des transports existants, d'ici 2015.

    Toutefois, des dérogations sont accordées, à titre exceptionnel, sur avis conforme de la Commission départementale consultative de la protection civile, de la sécurité et de l'accessibilité et après démonstration d'une "impossibilité technique avérée". On distingue trois cas d'impossibilité technique :

    • Disproportion manifeste entre les améliorations apportées et leurs conséquences,
    • Contraintes liées au patrimoine architectural,
    • Impossibilité technique avérée (caractéristiques de terrain)

    Or, nous observons que la notion d'impossibilité technique avérée est souvent invoquée par les pouvoirs publics. S'il est vrai que l'accessibilité dans les zones rurales reste problématique et difficilement réalisable, des solutions simples sont pourtant envisageables en milieu urbain : par exemple, au lieu de refuser la mise en accessibilité d'un arrêt de bus fréquenté au titre d'une impossibilité technique avérée, il est possible de le  déplacer vers un endroit où il sera accessible.

    Merci à Alain Mirault de l'équipe Accessibilité pour cette analyse.